Didascalie (parce qu’il faut faire attention) : Je suis un peu sous le choc.
Lui et elle sont en voiture. Ils s’apprêtent à passer sous un viaduc. En supposant que le viaduc possède trois voies de 3,7 mètres chacune, que leur vitesse est de 100 kilomètres à l’heure, et que leur probabilité de malchance est atrocement près de 1, quel laps de temps la structure a-t-elle pour leur tomber sur la tête?
(3)(3,7) = 11,1 mètres de largeur
Ajustons en fonction de la longueur du véhicule; utilisons 15 mètres.
15 m / (1000 m/km) / (100 km/h) = 0,00015 heure, soit près de 0,54 seconde.
La fatalité a de ses précisions qui inquiètent fortement.
Lui et elle sont en voiture. Ils s’apprêtent à passer sous un viaduc. En supposant que le viaduc possède trois voies de 3,7 mètres chacune, que leur vitesse est de 100 kilomètres à l’heure, et que leur probabilité de malchance est atrocement près de 1, quel laps de temps la structure a-t-elle pour leur tomber sur la tête?
(3)(3,7) = 11,1 mètres de largeur
Ajustons en fonction de la longueur du véhicule; utilisons 15 mètres.
15 m / (1000 m/km) / (100 km/h) = 0,00015 heure, soit près de 0,54 seconde.
La fatalité a de ses précisions qui inquiètent fortement.
2 commentaires:
Le pire dans tout ça, c'est de considérer que non pas une, mais deux voitures se sont retrouvées au même moment victimes de cette infime probabilité...
Cette probabilité est si infime que qe me demande d' s'il n'y a pas de traces de freinage brusque, autrement dit que les infortunés (le mot est faible) n'ont tout simplement pas pu freiner à temps quand ils ont vu la structure s'écrouler...
Oui, je me suis demandé passablement la même chose. La loi de probabilité venait de prendre un sens plutôt cauchemardesque.
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