Je découvre à l’instant la triste et générale transitivité indirecte du verbe échapper, sauf si on désire toujours l’échapper belle, ce qui est une manière très directe et très acceptable de vivre la transitivité du verbe échapper, comme me le susurre la rousse qui loge sur mon CD-ROM.
Pour éviter le sempiternel posté par, ma quête de verbes transitifs directs est ahurissante… Fomenté? Déjuché? (Hum! intéressant) Accommodé? (J’hésite…) Placardé? (Simplicité volontaire) Délinéé? (Assez rare pour être tentant…)
Je change aussi les rebond(s)… Cette marque incertaine du pluriel, c’est agaçant, non? Elle a un petit quelque chose d’André Boisclair («Cher membre, chère membre, cher(ère)s membre(s)…») Je demande donc à la rousse si elle a quelque chose à suggérer…
Delirium tremens? Hors-d’œuvre? Hors-texte? Post-partum?
C’était simple pourtant, allons-y pour les post-scriptum. Elle est efficace, cette rousse-là.
Alors, jusqu’au prochain changement…
16 mai 2006
Merde! (m’exclamé-je)
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4 commentaires:
Explique-moi: que fait le post-partum dans ton énumération?
Ça sonne bizarre un peu.
Ce mot a la joyeuse propriété d'être invariable. Puis, à la rigueur, si tu veux marcher un peu sur un chemin étrange dans le monde des images poussées très loin, on pourrait voir le texte comme un accouchement et les commentaires comme des réactions post-partum.
Bizarre, oui. Et non retenu, par la même occasion.
Voilà, je suis étrange, mais seulement à temps partiel.
Fiou, tu me rassures.
L'idée que je sois devenu père serait-elle si effrayante?
(Je le conçois, oui, mais de là à effrayer les autres?)
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