Non, si je ne donne pas de nouvelles, ce n’est pas parce que je fais partie de l’émission Loft Story.
Je ne vous narrerai pas exhaustivement mes modifications de routine, mais le changement a eu des répercussions que je n’avais pas envisagées sur mon rythme d’écriture, par ici. Conjugués au mois de février, mon verbe et ma vie prennent également des tangentes qui rendraient la biographie d’un lombric hautement captivante. Un drôle de mal de cœur le jour de la Saint-Valentin et des Jeux olympiques qui m’inspirent moins ou plus complètent également le portrait de ce merveilleux mois du REER.
Mais sinon, un de mes textes a réussi à voler de ses propres ailes et à naviguer sur les ondes d’une radio qui semble éminemment connue dans le monde du blogue. Hé oui! L’omniscient Patrick Dion a lu un de mes textes dimanche passé passé. En manque d’ordinateur à squatter, chez les beaux-parents, le lendemain d’un party de carnaval, je n’ai pas entendu le résultat. J’imagine que, pour plusieurs, l’anecdote relève de l’insignifiance, mais ces deux minutes de gloire inattendues, non savourées m’ont fait grandement plaisir. En route sur la toujours guillerette autoroute 20, avec ma blonde, j’ai glissé dans la conversation que j’avais écrit un texte qui allait être lu à la radio de l’Université de Montréal. Elle m'a donné la réplique, comme convenu, en s’enquerrant du contenu du texte. Je lui ai résumé succinctement qu’il s’agissait d’un texte sur la campagne électorale fédérale, un peu comique.
- Je te le ferai lire.
- Oui. O.K.
On nageait dans l’enthousiasme le plus pur. Mais enfin, peu importe...
D’autre part, si j’ai découvert que ce site était maintenant une référence pour les recettes de rosbif (désolé!), je suis plutôt stupéfait de réaliser que le site arrive en tête, si vous tapez « J’aime le Groenland » dans google. Et encore plus stupéfait que quelqu’un cherche « J’aime le Groenland », mais ça…
Je ne vous narrerai pas exhaustivement mes modifications de routine, mais le changement a eu des répercussions que je n’avais pas envisagées sur mon rythme d’écriture, par ici. Conjugués au mois de février, mon verbe et ma vie prennent également des tangentes qui rendraient la biographie d’un lombric hautement captivante. Un drôle de mal de cœur le jour de la Saint-Valentin et des Jeux olympiques qui m’inspirent moins ou plus complètent également le portrait de ce merveilleux mois du REER.
Mais sinon, un de mes textes a réussi à voler de ses propres ailes et à naviguer sur les ondes d’une radio qui semble éminemment connue dans le monde du blogue. Hé oui! L’omniscient Patrick Dion a lu un de mes textes dimanche passé passé. En manque d’ordinateur à squatter, chez les beaux-parents, le lendemain d’un party de carnaval, je n’ai pas entendu le résultat. J’imagine que, pour plusieurs, l’anecdote relève de l’insignifiance, mais ces deux minutes de gloire inattendues, non savourées m’ont fait grandement plaisir. En route sur la toujours guillerette autoroute 20, avec ma blonde, j’ai glissé dans la conversation que j’avais écrit un texte qui allait être lu à la radio de l’Université de Montréal. Elle m'a donné la réplique, comme convenu, en s’enquerrant du contenu du texte. Je lui ai résumé succinctement qu’il s’agissait d’un texte sur la campagne électorale fédérale, un peu comique.
- Je te le ferai lire.
- Oui. O.K.
On nageait dans l’enthousiasme le plus pur. Mais enfin, peu importe...
D’autre part, si j’ai découvert que ce site était maintenant une référence pour les recettes de rosbif (désolé!), je suis plutôt stupéfait de réaliser que le site arrive en tête, si vous tapez « J’aime le Groenland » dans google. Et encore plus stupéfait que quelqu’un cherche « J’aime le Groenland », mais ça…
2 commentaires:
Bin moi ! J'aime ça, le Groenland !
Merveilleux, je relance donc ma production de t-shirts "J'aime le Groenland" au Bangladesh!
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