01 septembre 2010

7 – Le phare d’Alexandrie

Le phare d’Alexandrie est une merveille vraiment à part, car son utilisation ne se limitait pas à une utilisation pour les publicités touristiques. C’était un concept pratique, alors tu peux imaginer à quel point ça faisait changement.

Les Alexandrins, en plus de parler bizarrement, se dirent un jour ou plus vraisemblablement une nuit que c’était vraiment agaçant à la fin tous ses bateaux qui venaient s’échouer et qui les empêchaient de dormir ou de composer des rimes en toute quiétude. Bon, ils auraient pu en profiter pour inventer le GPS et régler la question une fois pour toutes; ils optèrent plutôt pour la solution B qui consistait à mettre une lumière au sommet d’un bâtiment assez haut sur l’île de Pharos (un nom qui tombait bien, avouons-le, pour inventer le phare).

Ils érigèrent donc une tour assez haute pour narguer tout le monde et ainsi s’enorgueillir de posséder l’édifice le plus haut de la terre ( 117 mètres , sans antenne de télécommunication), une attitude de l’époque qu’on a peine à comprendre de nos jours. Ils mirent également au point un miroir qui reflétait le foyer lumineux à plus de 50 kilomètres de distance. Le principe permit aussi, des années plus tard, de fournir des questions sur les miroirs courbes, les distances focales et les images virtuelles dans les examens de physique.

Enfin, c’est peut-être une légende urbaine, mais on raconte que par la suite d’autres villes portuaires ont également construit des phares. Certaines sources prétendent qu’il y aurait même une ville où le phare est en forme de bonne femme verte avec une couronne sur la tête, un livre sous un bras et une torche à la main. On peut aisément présumer qu’il s’agit d’une civilisation païenne qui n’a pas peur du ridicule ou bien que c’est un cadeau qu’ils ont reçu et qu’ils ne pouvaient pas refuser.
Note: À l’époque, Wikipédia, un marin qui n’avait pas grand-chose à faire un soir de tempête, a décidé de réaliser une aquarelle du phare et, incroyablement, de mettre son œuvre sur son site Internet. Oui, notons aussi au passage qu’il aimait les mouettes.

2 commentaires:

Bernard a dit...

T'as fini de nous bourrer le mou avec tes impossibletés? 117 mètres sans les antennes, comme si ça se pouvait. D'abord, tu sauras mon pit' que le mètre, ben IL N'EXISTAIT PAS à l'époque. Hein! Ça te bouche un coin ça non?
Et maintenant que t'as fini les sept mervieilleries, tu vas t'attaquer au Pont de Québec?

François a dit...

C'est bon, oui, le mou a été assez bourré comme ça.
Pour faire preuve de rigueur, je voulais donner la hauteur en bloc de féta. Mais j'ai flanché, la féta n'est pas bien étalonnée et c'est un parti pris : aussi bouché mon coin soit-il, j'ai converti, je suis un moderne, moi, Môsieur, je suis pour les machines à tisser le coton.
Et pour le pont de Québec, hum, en résumé : ça a son charme, mais ça tombe 2 fois sur 3. Attention lorsque vous calculez vos ponts à la maison, voici mon petit truc personnel : il faut bien considérer le poids et les charges. Et je crois que la circulation y est présentement fluide.