Lecteurs amicaux, expatriés et réfugiés politiques, pingouins, jardiniers, chauffeurs, majordomes, ministres du culte, maître du loft et pourfendeurs de Josélito Michaud (mais oui, tu peux être dans deux catégories), bon après-midi,
Sentez-vous cette apaisante chaleur que la douce flamme de la période des Fêtes fait naître dans vos cœurs (surtout dans le ventricule gauche, oui, ça doit y être maintenant, il serait grandement temps)? Voyez-vous comme elle illumine et égaie vos jours (surtout les impairs, mais pas le 33)? Bon, si j’étais vous, j’y verrais, car elle embrase présentement votre nappe en papier avec des pères Noël (mais Noël est passé, tu peux laisser brûler à moins que tu comptes utiliser la même pour le jour de l'An)...
Donc, dans le cadre de cette période si propice à faire renaître joie, Jésus, et ange déchu qui dodeline de la tête pour un p’tit trente sous (jeune depuis 1947), c’est avec allégresse que je vous offre ma tournée de bons vœux tout droit sortis du four (alors sois pas surpris si tu trouves un peu d’épinards gratinés dessus).
Enduisez-vous donc de bonheur, roulez-vous dans la félicité, et enfournez-vous dans l’extase jusqu’à ce que jubilation s’ensuive (ou jusqu’à ce que ça devienne un peu croustillant et doré). Jouez hautbois et résonnez musette (ou gazou), si ça vous chante. Empiffrez-vous de faste nourriture, savourez un bon jeu de mots (comme celui précédemment énoncé) avec votre beau-père, dansez avec votre secrétaire préférée, c’est le début d’un temps nouveau.
Alors oui, joyeuses Fêtes inclusives à vous, à nous, aux autres qui sont nous aussi, et à ceux qui se sentent mieux incarnés par l’utilisation d’autres pronoms personnels (toi que je tutoie entre parenthèses, supposons). Et passez donc une belle année 2008, car les années sont plus plaisantes lorsqu’elles sont belles. Ce n’est pas de la discrimination, c’est ainsi.
Sentez-vous cette apaisante chaleur que la douce flamme de la période des Fêtes fait naître dans vos cœurs (surtout dans le ventricule gauche, oui, ça doit y être maintenant, il serait grandement temps)? Voyez-vous comme elle illumine et égaie vos jours (surtout les impairs, mais pas le 33)? Bon, si j’étais vous, j’y verrais, car elle embrase présentement votre nappe en papier avec des pères Noël (mais Noël est passé, tu peux laisser brûler à moins que tu comptes utiliser la même pour le jour de l'An)...
Donc, dans le cadre de cette période si propice à faire renaître joie, Jésus, et ange déchu qui dodeline de la tête pour un p’tit trente sous (jeune depuis 1947), c’est avec allégresse que je vous offre ma tournée de bons vœux tout droit sortis du four (alors sois pas surpris si tu trouves un peu d’épinards gratinés dessus).
Enduisez-vous donc de bonheur, roulez-vous dans la félicité, et enfournez-vous dans l’extase jusqu’à ce que jubilation s’ensuive (ou jusqu’à ce que ça devienne un peu croustillant et doré). Jouez hautbois et résonnez musette (ou gazou), si ça vous chante. Empiffrez-vous de faste nourriture, savourez un bon jeu de mots (comme celui précédemment énoncé) avec votre beau-père, dansez avec votre secrétaire préférée, c’est le début d’un temps nouveau.
Alors oui, joyeuses Fêtes inclusives à vous, à nous, aux autres qui sont nous aussi, et à ceux qui se sentent mieux incarnés par l’utilisation d’autres pronoms personnels (toi que je tutoie entre parenthèses, supposons). Et passez donc une belle année 2008, car les années sont plus plaisantes lorsqu’elles sont belles. Ce n’est pas de la discrimination, c’est ainsi.